PORTRAIT

Sous ses chapeaux colorés, Christophe Kaprélian abrite une nature généreuse et passionnée, un créatif sans frontières qui carbure à l'émotion, aux rêves et à la liberté.

En cuisine comme en photographie, pour lui tout est histoire de regard. Un regard nourri à la source par les peintres impressionnistes, son enfance de l'art. Un point de vue sensuel et gourmand porté sur le monde, s'amusant à dévoiler la magie derrière le masque de l'anodin. À mettre au jour ce que l'ordinaire a d'extraordinaire.

Ce monde authentique, en bon et en beau, il le cultive partout, au coeur de ses entreprises («Madame est servie», et aujourd'hui «Maison Kaprélian») comme dans ses images capturées sans préméditation, n'ayant pour tout guide que les grâces fugitives de la lumière.


Depuis six ans, il a produit plusieurs expositions* dont Impressions d'Arménie (Yerevan, 2012), Colors (Manhattan, 2013), et récemment Paris Électrique, sa version de la Ville Lumière.



* Sur demande, ces expositions sont proposées à location.